Une nouvelle fois, il semblerait que c'est un blog qui lance la polémique. Indignation dans le milieu des Miss France, dont la grand messe télévisée annuelle aura lieu samedi soir sur TF1... en face du Téléthon. Sur le blog de Morandini est en effet présentée une photo de groupe (parue à la une de TV Magazine, un journal à diffusion nationale) sur laquelle une miss non identifiée présente majestueusement son majeur à la France entière !
Les spéculations vont bon train sur l'identité de l'auteur de ce doigt. Le Parisien accuse Miss Bretagne (la blonde derrière Miss Martinique), qui semble avoir un bras de taille démesurée. Miss Pays de Loire est suspecte également... à moins que ce ne soit un montage et une blague ?
Seul un expert en analyse d'images pourrait démêler le vrai du faux... (Jean ?). Et vous, vous avez une idée de la coupable ? On en parle sur lemague.net, le Nouvel Obs et sur l'Express.
Posté par Stéphane DEGOR
Une belle opération marketing pour promouvoir l'émission, encore un joli coup de TF1 avec comme d'habitude la complicité de Jean Marc Morandini, au coeur de l'info bidonnée !
Rédigé par : journaliste | 03 décembre 2005 à 00:38
Geneviève de Fontenay perd son sang froid et insulte Jean-Louis Giordano à l'antenne...
Radio Scoop Lyon met les "pieds dans le plat" en direct sur son antenne. Geneviève de Fontenay dévoile sa véritable personnalité, dément ses propos diffusés par l'AFP, AP et Le Nouvel Obs, accuse TV Magazine "d'incompétence" et insulte son concurrent direct Jean-Louis Giordano...
Malgré toute son affection pour Geneviève de Fontenay, l'animateur "Pato" ne parvient pas à réfreiner les excès de langage de cette dernière qui lui raccroche au nez après avoir égrenné le chapelet de critiques gratuites et noms d'oiseaux dont elle affuble son propre photographe, TV Magazine, les rédactions et son ennemi juré Jean-Louis Giordano.
Voici le lien vers l'interview intégrale, avec nos remerciements à Radio Scoop Lyon pour son aimable participation:
http://www.radioscoop.com/win/audio.phtml?id=13427
à vous de juger...
Amicalement Vôtre,
Jean-Louis Giordano
http://www.comitemissfrance.fr
Rédigé par : Jean-Louis Giordano | 03 décembre 2005 à 09:43
Lors de l'élection de "MISS FRANCE 2006", les "Miss" de Madame de Fontenay défileront-elles avec ou sans collants sous leur maillot de bain; that is the question ?
- réponse ce soir sur TF1 !
C'est une des interdictions mentionnées dans la charte adoptée par l'Association Internationale des Concours de Beauté pour les Pays Francophones. Va t-elle être respectée par celle qui a toujours imposé à ses "MISS" de porter des collants sous leur maillot de bain?
Rappel du communiqué de presse envoyé par l'Association :
LES IMPLANTS MAMMAIRES ET LES COLLANTS INTERDITS DANS LES ELECTIONS DE MISS.
L’ « Association Internationale des Concours de Beauté pour les Pays Francophones » vient de confirmer l'adoption d'une charte internationale pour réglementer les concours de beauté.
Selon l’Association ces concours doivent rester des compétitions où la beauté naturelle doit privilégier sur les artifices ou métamorphoses physiques artificiels.
Les concurrentes devront se présenter le plus "naturel" possible.
Tout comme pour le dopage des sportifs, des contrôles auront lieu avant les compétitions.
Seront désormais prohibés des concours de beauté reconnus par l’Association, entres autres : les implants mammaires, les perruques, les rajouts de cheveux ainsi que les lentilles de contact couleurs.
Est également interdit le port de collants lors du défilé en maillots de bain. Cette pratique a encore lieu dans certains pays comme la FRANCE lors des concours régionaux et même pour l'élection de "MISS FRANCE" diffusée sur TF1.
Le Président de l’Association, Michel Le Parmentier, espère que ces mesures seront adoptées par les organisateurs des grands concours tels que « MISS MONDE » et « MISS UNIVERS », d’autant que la dernière « MISS UNIVERS » en titre est une Canadienne et que l’ « Association Internationale des Concours de Beauté pour les Pays Francophones » est basée à Montréal.
Infos Presse International : 1 514 409 2039
Contact en France : 06 81 87 13 41
http://www.missfrancophonie.org
Rédigé par : | 03 décembre 2005 à 10:39
L'original de la couverture est ici.
Le doigt d'honneur de Miss France est clairement visible en dessous du logo TV Magazine
Rédigé par : stéphane | 03 décembre 2005 à 12:14
elle est belle notre Miss en plus nous on habite dans le Languedoc
Rédigé par : loli | 04 décembre 2005 à 15:31
;-)
Rédigé par : Jean Véronis | 04 décembre 2005 à 17:06
Moi, je comprends pas qu'on élise une fille comme ça ...
1/ elle est pas spécialement très jolie (elle a des yeux démesurés pour son visage, elle a une mâchoire de cheval et pour finir, un air niais !!)
2/ elle a pas vraiment l'air très intéressante . "Bonnjour (avec l'accent du sud), je suis étudiante en BTS Tourisme et plus tard, je veux faire de la communication et ouvrir mon agence de voyage". Bon, ben c'est super ! Et vraiment passionnant, ce que tu nous promets là !!!
C'est dommage parce que sa 1ère dauphine, non seulement était bien plus jolie, mais en plus, a eu des propos beaucoup plus naturels et intéressants.
Bref, j'aimerais terminer ce petit témoignage par les perles de cette formidable émission "arthurienne". Et je tiens à préciser que je n'ai vu que la fin ...
1/Geneviève : "Je voudrais rappeler qu'aujourd'hui c'est également le téléthon [ndr : merci tf1 d'avoir programmé miss france en même temps !!] et je sais que tous les petits myopathes adorent miss france"
Finalement, c'est une manière de les aider comme une autre ...
2/Johnny pose une question : "Bon, si t'es élue, je suppose que tu vas pas faire Miss France toute ta vie, ce n'est pas un métier ! Mais après, tu veux faire quoi ? Artiste ou comédienne ?
Il est vrai que ce sont 2 choses complètement différentes !!! Ne dîtes jamais à un comédien que c'est un artiste ! et l'inverse non plus, d'ailleurs.
Rédigé par : matlatomat | 04 décembre 2005 à 17:46
le blog de la nouvelle "miss france"
pancakes.skyblog.com
Rédigé par : M | 05 décembre 2005 à 13:30
Viendra t'elle à la soirée blogueurs? A moins que le moins jour elle n'ait une conférence sur le web 2.0...
Rédigé par : ahBon? | 05 décembre 2005 à 16:50
Regardez les photos de la belle Miss Chine 2006!
http://www.chine-nouvelle.com/articles/20060407-miss-tourism.html
La concurence Miss Monde va être rude!
Rédigé par : Miss Chine | 27 avril 2006 à 06:50
Je suis vraiment trop con, je m'appelle fab, et mon adresse ip est 86.211.64.171. Vous voyez, je suis trop fort lol
Rédigé par : fab | 18 novembre 2006 à 14:48
Je suis fab le ouf et je suis moche comme un pou !
Rédigé par : fab le ouf | 18 novembre 2006 à 14:49
i fé moin le malin fab le ouf lol
allé revien on t'm avec té com à 2 bal lol
on ta rekonu, tu fé des com de merde aussi ici
Rédigé par : antispam | 18 novembre 2006 à 18:57
Il semble qu'elle tienne quelque chose dans la main...
...et que ce ne soit donc pas un mais plusieurs doigts.
Rédigé par : Doug | 14 février 2007 à 20:56
Respectons l’Histoire !
par Dominique Peters
Lorsqu’on souhaite s’approcher d’une quelconque vérité, autant situer les faits dans leur contexte historique et s’appuyer sur les témoignages de ceux et celles qui les ont vécus.
En ce qui concerne l’aventure commune à mes aïeux et à Miss France, elle pourrait s’intituler « Le Riche et le pauvre » ou « L’amour des choses vraies ».
Jean-Jules et Robert Cousin étaient au début du siècle dernier, deux jeunes ingénieurs passionnés de beauté, de cosmétiques et d’inventions.
Ils furent les premiers à utiliser « la réclame » à l’instar de leur concurrent, un certain Eugène Schueller qui fit connaître sa coloration « l’Auréale » par les dessins de l’humoriste Gus Bofa.
Mais le climat politique en France était plus que délicat depuis l’Affaire Jaurès et les frères Cousin pensèrent que pour « unir les français par la beauté des choses, il fallait se rapprocher des braves gens ».
Et si Vincent Scotto écrivait à l’époque dans « Le cri du poilu » « A nos poilus qui sont au front, qu’est ce qu’il leur faut pour distraction : une femme, une femme », Jean Jules Gustave Cousin, mon arrière grand-père ajouta avec une tendresse pleine de compassion : « Il faudrait avant tout qu’ils puissent se laver avec un savon qui sente bon et soit moins lourd qu’un pain de savon de Marseille ».
L’idée de la savonnette parfumée était née et par la même celle d’élire la plus belle femme de France pour en faire la réclame, c’était le 17 février 1921 à 12 heures. (voir brevet joint).
Les frères Cousin n’eurent que peu de recherches à faire, car les « frères siamois », nés d’un jeu de mots d’un certain Caporal André Isaac qui, ayant perdu son frère Marcel « Mort au champ d’honneur le 28 octobre 1915 », lui-même, blessé au bras gauche le 08 octobre de la même année, s’était trouvé « un frère de cœur » qui était resté, lui, sur le front.
André Isaac écrira, « En ce moment, à Paris, il n’y a que moi, mais si y a moi, y a toi et s’il se nettoie, c’est donc ton frère »
Son « frère siamois » de circonstance était un modeste maçon marseillais d’origine italienne, passionné de dessin et de poésie qui ornait ses cartes postales écrites sur le front à Amiens de petits oiseaux.
A telle enseigne qu’André Isaac, par dérision, lui écrivit : « Si vos oiseaux battent des ailes, Battez l’ennemi, Georges Moineaux ! ». Cet ami signait ses cartes postales : Barthélémi Giordano et devint sous la plume humoriste d’André : « Battez l’ennemi Georges Moineaux ».
Lors de la bataille d’Amiens, en 1916, des liens intellectuels se bâtirent sur le front du Bois des Berlingots à Bouchavesnes en Passant par Perronne, car loin de toute considération sociale des hommes se mélangèrent, souffrirent et partagèrent des idées.
Giordano Barthélémi, dit « Jourdan » est mort au champ d’honneur le 16 septembre 1916 d’un éclat d’obus dans la tempe gauche alors que « son frère siamois », Isaac avait lui-même été blessé d’un éclat d’obus au bras gauche.
Isaac, ne recevant plus de nouvelles de « Battez l’ennemi, Georges Moineaux » dira simplement : « Si nous craignons tous la mort, la mort, elle, ne craint personne ».
Eugène Schueller qui s’en était sorti aussi après avoir été cité à Verdun, sur l’Aisne, au Chemin des Dames, lancera sa phrase célèbre : « Faire et défaire pour mieux faire ».
C’est par ces gens illustres qu’il vint aux oreilles des frères Cousin l’anecdote qui se passa quelque part entre Peronne et Tiepval alors que les poilus chantaient « La Madelon » et qu’un soldat anglais demanda « Who’s that girl ? » un certain Pierre Dumarchais, de la même classe que Barthélémi Giordano, était un des rares à parler Anglais et alors que les soldats essaient de dire à leur camarade britannique : « La Madelon, c’est la plus Belle Fille de France !, c’est Mademoiselle La France », il semblerait que ce soit Pierre Dumarchais qui traduisit, c’est Miss France.
Un certain Franc Nohain, journaliste de son état souhaitait comme son « collègue » Maurice de Waleffe faire oublier ce qu’ils avaient écrit sur Jaurès (respectivement le 13 mars 1913 dans l’Echo de Pais pour Nohain et le 2 avril et le 17 juillet 1913 dans Paris Midi pour de Waleffe) car ils s’aperçurent que ce peuple hétéroclite avait un point commun : « Se battre pour la France ».
Barthélémi était le poète, le rêveur et il laissa deux jeunes enfants, lui qui en arrivant à Amiens était plein d’espoir car « C’était la ville historique où fut signée La Charte d’Amiens en 1906 » et cette Charte, ils étaient nombreux à y croire, lui le catholique, s’était lié à Isaac, le juif qui était né un 15 août, le jour de Sainte Marie et alors que Dieu ne sut que faire alors qu’ils se faisaient massacrer, eux songeaient au bonheur de la France, aux poésies et à l’humour. En cela, ils avaient déjà vaincu, malgré la crasse, les souffrances et les horreurs.
Après la Guerre, certains se retrouvèrent à Paris, Schueller, Nohain, Isaac, Dumarchais qui était plus connu sous le nom de Pierre Mac Orlan.
Jean-Jules Gustave Cousin fut plus qu’ému par leur histoire qu’André Isaac tourna vite en dérision pour son ami « Moineaux » Mort pour la France. Il dira simplement ceci : « Les frères siamois, c’est la crème et siamoelle, c’est qu’y l’os ».
Et si André Isaac attendit 1938 pour créer l’Os à Moelle en hommage à son père boucher, Jean-Jules Gustave et Robert Cousin mirent au point leur crème Siamoise dès 1920. Franc Nohain et Maurice de Waleffe collaborèrent à la recherche de « La plus belle femme de France », car de Waleffe n’acceptait d’apporter son concours médiatique que si cette Jeune Fille ne portait pas le titre de Miss France car l’anglais, c’est la langue officielle des américains et de Waleffe haïssait les américains.
A telle enseigne qu’il écrivit le 5 avril 1920 dans « Paris Midi » que « L’invasion des écrans français par les films américains est intolérable ».
Les frères Cousin et Franc Nohain pensaient, au contraire que l’Amérique et notamment, les Etats-Unis sont un peuple ami, surtout qu’ils s’occupaient d’une jeune « Négresse » Joséphine Mac Donald, Américaine, alias Joséphine Baker pour laquelle ils créèrent le célèbre « Bakerfix ». Et que Jeanne Bourgeaois était « La Miss » depuis déjà longtemps. Tout d’abord Miss Héliet, puis Mistinguet et enfin Mistinguette.
C’est dans ces conditions qu’en 1921 fut élue Mademoiselle Agnès Souret, dans les cinémas de France, avec des commentaires français, « La plus Belle Femme de France » et non Miss France.
Après force tergiversations, il fallut attendre 1927 pour que Roberte Cusey porte enfin le titre de Miss France pour les besoins de la promotion de « La crème siamoise » baptisée ainsi en mémoire de l’histoire naguère rapportée par le jeune André Isaac devenu Pierre Dac.
Ce que l’histoire omet de préciser c’est que, dès 1928, Mademoiselle Raymonde Allain fut également couronnée Miss France et qu’en 1929, ce fut Pauline Po qui lui succéda depuis sa Corse natale avant que ne soit sacrée Miss France 1930 Yvette Labrousse qui devint « La Bégum » en épousant l’Aga Khan.
En 1925, le jeune Lucien Pierre Giordano, fils de Barthélémi « Moineau » et pupille de la nation, alors saxophoniste dans l’orchestre de Pierre Decca contacte Jo Bouillon qui fréquentait Joséphine Baker.
Mais déjà l’histoire s’étiole et « rien ne sert de remuer le passé ».
En 1932, après la sortie du film « Miss Europe » de Réné Clair, Maurice de Waleffe tenta vainement de proclamer que le terme de Miss pouvait s’adapter à Agnès Souret de quoi en voir « 36 chandelles » aurait pu dire Jean Nohain…
En 1945, c’est Christian Dior qui reprend le flambeau.
En 1947, Fernand Véran représente « Marseille » et ses souvenirs au Palais de Chaillot, il devient président de la presse artistique, Henri Salvador y chante, Suzy Delair aussi et seul le présentateur qui semble surgir de nulle part revendique aujourd’hui par « maîtresse interposée » l’œuvre de tous ces grands hommes, c’est grotesque !
En 1969, Jean Nohain, fils de Franc Nohain, soit la famille Legrand, découvre le jeune Jean-Louis Giordano qui n’a que 13 ans et n’en croit pas ses oreilles.
Et moi, Dominique Peters, je rencontre enfin Jean-Louis Giordano et près d’un siècle plus tard, nos histoires, nos documents, nos sources concordent. C’est pour cela que j’entreprends l’écriture d’un livre sur la Saga des frères Cousin et suis offusquée, outrée que toutes ces « Reines d’un jour » comme les appelait Jean Nohain en 1946 soient péremtoirement accaparées par des gens qui n’en n’ont connu que de vagues articles de presse et se sont baptisés « résistants » sur les chaînes de télévision qui n’existaient pas à l’époque où Pierre Dac proclamait sur la BBC : « Les français parlent aux français ».
C’est peut être grâce aux frères Cousin, et à cette Miss France que les ressortissants juifs, italiens, franc maçons, arméniens et français de toutes confessions ont maintenu une nation qui se nomme La France.
Rédigé par : george | 26 décembre 2009 à 15:45